Pour attirer les faveurs des Muses capricieuses, ou pour se détacher d'une réalité triviale et flotter dans les strates voluptueuses de l'oubli de soi, les écrivains, quelle que soit l'époque, ont parfois eu recours aux drogues pour déchloroformer leur art, ou les ont utilisées comme sujet central de leurs oeuvres. A l'occasion de la parution d'une édition Pléiade consacrée à Thomas de Quincey, auteur des Confessions d'un Anglais mangeur d'opium, voici une sélection de quelques ouvrages, forcément stupéfiants.
Serait-ce pour les punir de posséder le pouvoir d'enfanter? Ou parce qu'elles ont été de tout temps le pilier des sociétés?Force est de constater que les femmes ont toujours été reléguées à un rôle de subordination, quelque soit leur époque, quelque soit leur culture : une étrange constance, probalement unique en son "genre".
Ecrit en 1955, publié en 1956, le poème Howl dégage une odeur de souffre qui vaut à son éditeur une condamnation pour obscénité dès sa parution. Le long texte, en forme de mantra extatique,...
La Maison, une pièce mise en scène par Jeanne Champagne et extraite de La Vie Matérielle de Duras était donnée au Lucernaire du mercredi 30 mars au samedi 21 mai. Une occasion pour les amoureux...
Tandis que Woody Allen magnifie la ville-lumière dans Minuit à Paris, les éditions Gallimard publient une nouvelle édition revue et augmentée de Paris est une fête. Ecrit à partir de 1957 par...
L'oeuvre de Milan Kundera vient d'entrer dans la prestigieuse collection de la Pleiade: L'occasion de relire mais aussi découvrir les ouvrages d'un écrivain qui ne cesse d'interroger la...