Satan est un homme comme les autres

  • Année de publication : 2017
  • Genres :
    Fiction
  • Nombre de page : 328 pages
  • Prix éditeur : 0,99
  • ISBN : B06XPKHYPS
  • Source : Amazon

Résumé

« Et Satan créa l’enfer. Enfin, surtout pour les autres. »

Infernal. Démoniaque. Salaud. Des adjectifs qui collent à la peau d’Adrian Sheffield, pianiste virtuose et terreur du monde de la musique classique. Il fallait s’y attendre : à force de semer la haine, Adrian reçoit un jour une menace de mort. Son agent – la seule personne sur Terre à encore le supporter – décide de lui attribuer un garde du corps. Ou plutôt une garde du corps : Carrie North.
Mais il ignore que Carrie a déjà rencontré Adrian, et qu’il ne lui a pas fait bonne impression. Du tout. Les voilà de nouveau réunis. Adrian, toujours aussi séduisant et imbuvable, et Carrie, toujours aussi têtue. Sauront-ils surmonter leurs rancœurs et céderont-ils enfin à leur attirance mutuelle ? Mais surtout, qui veut la peau d’Adrian Sheffield ?

Par l'auteure de Bad Romance, la série New Adult phénomène.

Extrait :
— Comment est-ce possible ? Comment peut-on être un génie de ta trempe et être aussi... aussi... ! Je ne trouve pas mes mots. L’intégralité du dictionnaire n’en contient pas assez pour te définir avec exactitude.
Adrian Sheffield l’étudia un instant avant de sortir de son mutisme :
— Tu as terminé ?
Gislain baissa la tête, misérablement vaincu.
— Oui, confirma-t-il d’un timbre résigné.
Adrian opina pour ensuite agiter les mains dans les airs.
— Mes lingettes, s’il te plaît.
— Tes... quoi ?
Le pianiste le considéra comme s’il était devenu lent d’esprit, ce qui accentua l’agacement qu’éprouvait déjà Gislain.
— Mes. Lingettes. Antibactériennes.
— Pourquoi ? se renseigna-t-il en cherchant tout de même ledit paquet de lingettes.
Adrian afficha une mine sombre et grave :
— Je l’ai touché, Gislain. Je suis contaminé.
Son ami lui lança un regard perplexe.
— Qu’as-tu touché ?
Adrian lui renvoya une expression interloquée.
— Ken, pardi ! J’ai peut-être juste effleuré sa veste, mais dans le doute, je préfère ne pas prendre de risques. Imagine que son incompétence attaque ma virtuosité façon pandémie ? Quelle scène horrifique ! J’en ai des frissons ! (Adrian lui montra son avant-bras.) Regarde ! Je ne plaisante pas, j’ai la chair de poule... Misère. Je suis sûr que la grippe aviaire fait moins de dégâts que la veste en polyester de Ken Stull.

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