4 semaines de soumission - Volume 4

Résumé

Jane Novak, jeune secrétaire de 24 ans, est embauchée par le séduisant John Warghal, un puissant milliardaire de 35 ans à la tête d’un empire industriel.
Ce nouvel emploi est la chance de sa vie !
Mais rien ne se passe comme elle l’imaginait et son existence va totalement être bouleversée.
Le fascinant John Warghal s’amuse au chat et à la souris avec sa jeune secrétaire. Séduite, Jane tombe dans ses griffes envoutantes et le jeu se transforme en une attirance irrésistible l’un pour l’autre.
Une liaison passionnée et charnelle nait entre eux. Jane bascule dans un monde érotique et voluptueux encore inconnu.
Mais une série d’évènements et une ombre mystérieuse à ce tableau idyllique vont assombrir le destin de la jeune femme.
Comment leur passion va-t-elle résister à tant de tourments ? Quel est donc ce côté obscur et secret qui entoure les activités de John Warghal ? Entre attirances, déchirements et réconciliations, l’amour entre les deux amants, que tout oppose, triomphera-t-il contre vents et marées ?

Ce récit contient des scènes de sexe destiné à un public averti et majeur

Extrait :

John écarte mes jambes.

— Tu es magnifique nue avec ses chaussures à talon. J’ai tellement envie de toi.
— Moi aussi, John ! dis-je, dans un long soupir.
— Mais, tu vas devoir patienter.
— Quoi ? John, je t’en supplie, je n’en peux plus.
— Moi non plus, ma chérie. Et pourtant, il va bien falloir que tu t’y fasses.
— Mais je dois patienter combien de temps ainsi ?
— Jusqu’à ce que je reçoive un SMS de Stanislas.
— Stanislas ? Mais pourquoi ?
— Je te rappelle que tu as drogué ton garde du corps. Stanislas est allé le réveiller avant de rentrer chez lui. Il doit m’envoyer un SMS pour me prévenir que tout va bien. Tu devras donc patienter jusque-là. C’est ta punition.

Je fais une moue de déception.

— Mais ne t’inquiète pas, je ne vais pas te laisser patienter sans rien faire.
Je sens une douce caresse remonter le long de mon ventre.
— Qu’est-ce que c’est ? C’est si doux !
— Une plume ! Tu aimes ?
— Oui, c’est très agréable !
— Tant mieux parce que cela peut devenir très vite un véritable supplice !
— Ah bon ? Je ne vois pas comment !