Résumé
Cet roman-essai (ou « essai-fiction ») a été publié une première fois en eBook, sur Amazon, le 27 juin 2013, soit quatre mois environ avant la rentrée littéraire de la même année, année qui fut celle du centenaire de la naissance d’Albert Camus. Une version en format PDF avait, dès le mois d’avril de la même année, circulé en Algérie parmi des journalistes, et, à leur demande, parmi des universitaires et des étudiants-doctorants d’Alger, de Constantine, de Guelma (Algérie) et de Sfax (Tunisie).
L’idée de ce « dialogue implicite », entre le fils de l’Arabe et l’auteur de "l’Etranger", m’était venue en 2009, alors que je rédigeais un article sur Meursault, commandé par mon éditeur du Seuil, comme l’une des entrées du "Dictionnaire des personnages populaires de la littérature des XIXe et XXe siècles, par 100 écrivains d’aujourd’hui" (paru en 2010).
À propos de la première édition, je signalerai trois critiques notables. La toute première, intitulée : "Un hommage à Albert Camus qui se distingue des autres", datée du 13 juillet 2013, a été publiée sur le site d’un critique littéraire, Bernard Morlino, hébergé par Pierre Assouline ("La République du livre numérique"). À la rentrée suivante, le lien vers l’article n’apparaissait plus dans les recensions portant sur le même sujet (Camus), voire : l’article disparaîtra carrément des archives du site au début d’octobre 2014.
La seconde critique, plus fouillée, est signée d’Emmanuelle Caminade, dans "La Cause littéraire", 25 septembre 2013 (
http://www.lacauselitteraire.fr/aujourd-hui-meursault-est-mort-rendez-vo...). La troisième critique, signée de Walid Bouchakour, intitulée : "Citation à (com)paraître", a été publiée dans El-Watan, le 2 novembre 2013 (
https://www.elwatan.com/archives/arts-et-lettres-archives/citation-a-com...). Et la critique la plus récente :
https://www.huffpostmaghreb.com/denise-brahimi/camus-et-lalgerie-un-tour... N.B : Pour plus de détails sur le parcours de cet « essai-fiction », lire en Annexes : "Un Meursault peut en cacher un autre. Retour sur une imposture".
