L'homme qui danse

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"à Bodymax aussi je me suis senti désœuvré. Il n’y avait plus de raison de regarder l’horloge, plus rien à attendre. L’urgence d’une rencontre se diluait dans la lenteur et la vacuité de journées sans soirée, de travail sans récompense. Ici personne ne venait me parler. Les clients n’avaient plus besoin de moi depuis la numérisation des abonnements et l’installation d’écrans de coaching. Ma mission consistait à assurer la permanence à l’accueil, ranger le matériel et arroser les plantes."

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