L'exposition qui fermera ses portes le 16 février prochain à la Maison de Victor-Hugo propose une vision plutôt inattendue de l'écrivain engagé, véritable monument national de notre littérature, en mettant ses œuvres picturales (peintures, dessins, lavis, carnets ...) en regard de celles d'artistes surréalistes tels qu'André Masson, Brassaï, Max Ernst, Yves Tanguy, René Magritte ou encore Man Ray.
Loin de chercher à faire de Victor Hugo un surréaliste avant la lettre, l’exposition cherche à mettre en évidence des parentés (le romantisme), à pointer des préoccupations communes (la place et le rôle du hasard, du rêve ...), des pratiques (le lavis d’encre, le jeu des taches, des empreintes, des frottages, les rébus), des idées (la lutte contre la peine de mort, l’engagement politique, le souci social), des constantes (l’amour fou) ou encore des fascinations communes (la nuit, la forêt, les planètes, les animaux, les mains, Paris…).
Une parenté que ne reniait pas Breton quand il écrivait dans le Manifeste du Surréalisme : « Hugo est surréaliste quand il n’est pas bête ».
« La cime du rêve - Les Surréalistes et Victor Hugo »
Hôtel de Rohan-Guéménée
6, place des Vosges
75004 Paris
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