The Art of the Deal: BDSM avec le milliardaire, Livre 3

  • Année de publication : 2016
  • Chez : Caralyn Knight
  • Genres :
    Fiction
  • Nombre de page : 21 pages
  • Prix éditeur : 2,99
  • ISBN : B01DIDHVCU
  • Source : Amazon

Résumé

Andrew O'Malley est un des hommes les plus riches du monde, et à une table de négociation, il n'a pas d'égal. Lorsque j'appris que j'allais me mesurer à lui, je fus ravie. Mais lorsque je le rencontrai, le vis vraiment en chair et en os, mon professionnalisme se retrouva poussé dans ses derniers retranchements. Comment étais-je censée me concentrer, avec en face de moi l'un des hommes les plus sexy que j'avais rencontrés ? Avais-je eu les yeux plus gros que le ventre ? Ou ma vie s'apprêtait-elle à prendre un tour nouveau et inattendu ?
Ceci est une histoire explicite d'environ 5 450 mots. Elle contient un langage graphique et des thèmes sexuels. Cela signifie qu'elle n'est à destination que d'adultes intéressés par ce type d'histoire, dans des juridictions où sa vente et sa jouissance ne transgressent aucune loi locale.
Extrait :
Et j'étais prête à dégainer.
Jusqu'à ce que je rencontre le type nez à nez, en fait. Je ne pense pas que j'avais déjà été si attirée d'un coup par un homme de toute ma vie. Je veux dire, sérieusement… c'était un dieu vivant. Non seulement il était riche et puissant, un homme qui pouvait acheter et vendre un pays tout entier avant midi, mais il était aussi un homme qui pouvait facilement faire saliver des millions de cinéphiles rien que par sa beauté. Une chevelure sombre, des épaules larges, des yeux verts perçants ne constituaient que le début. Il devait faire de la musculation de manière compulsive, car son corps était si musclé que vous auriez pu faire rebondir une pièce de monnaie sur ses abdos. Il n'aurait même pas besoin d'ouvrir la bouche pour faire fondre une femme. Mais une fois qu'il le fit, l'intelligence s'épandit partout dans sa voix, si profonde et sexy que j'eus le souffle coupé lorsqu'il se mit à parler. Je ne sais pas comment j'ai fait pour survivre à la première matinée de négociations. C'était complètement flou. Mais je devais m'en être bien tirée, car il me fit venir dans son bureau et demanda une réunion privée.

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