Le chien qui croquait les chatons: Une enquête d'Arthur Bony (Rouge)

  • Année de publication : 2017
  • Genres :
    Biographie
    Littérature étrangère
    Théâtre
    Poésie
  • Nombre de page : 276 pages
  • Prix éditeur : 3,99
  • ISBN : B06W2PLY74
  • Source : Amazon

Résumé

On rencontre parfois de drôles de cabots dans le milieu du cinéma. Arthur Bony, détective-enquêteur à la MO.R.S.E., la Mondiale de Recherches, Sécurité et Enquêtes, se voit confier une mission qui le laisse perplexe : retrouver une star du grand écran, kidnappé dans un chenil de luxe. Car l’idole a le poil lustré et n’accepte que la croquette bio ! Persuadé de ramener l’animal en moins de temps qu’il n'en faut pour abandonner son chien au bord de la route avant de partir en vacances, il tombe rapidement sur un os, puis s’aperçoit qu’on tente de la manipuler. L’enquête s’annonce plus difficile que prévu quand l’épouse du commanditaire, l’une des plus célèbres actrices de cinéma, lui demande d’en mener une autre. Les deux seraient-elles liées ? Entre un ancien légionnaire reconverti dans la sécurité, un petit malfrat et une comédienne sans grand talent, mais non sans imagination, Bony se voit promené entre Nantes et Loudun, sous le soleil de plomb de juillet, toujours cerné par des chiens dont un roquet prénommé Néron qui aimerait bien goûter aux mollets du privé.

EXTRAIT

Il resta presque une heure chez l’homme de cinéma qui détailla l’historique de l’enlèvement du cabot. Celui-ci était sous la responsabilité d’un dresseur, dans un chenil de luxe entre Rennes et Nantes. Quand la bête coûte un certain prix, c’est l’homme qui le garde. Le chien devait prochainement être utilisé dans un long métrage produit par Cinégir, la société de Giraudeau. Bony avait en conséquence peu de temps pour le retrouver. Un matin, on avait découvert le box vide, ouvert et non forcé. Il n’y avait aucune trace, aucun indice. Enfin, c’est ce que déclara tout d’abord Giraudeau, mais Bony remarqua quelques différences de rythme dans le discours, des mains qui se crispaient, un lapsus, des signes qui lui laissèrent à penser qu’on ne lui disait pas l’entière vérité. Le privé demanda une photo de la star à quatre pattes. Il ne savait pas ce qu’était un Broholmer, n’en ayant jamais entendu parler. La bête était imposante, vraiment un beau chien et pas dans le genre chihuahua qu’on peut dissimuler dans une poche de poitrine. Un molosse en fait, originaire du Danemark, utilisé au moyen-âge pour chasser le cerf et garder les châteaux, lui dit-on par la suite.

À PROPOS DE L'AUTEUR

J-M Pen partage son temps entre la peinture et l’écriture. « Le chien qui croquait les chatons » est son cinquième roman, et le troisième relatant les enquêtes de son héros, Arthur Bony, détective-enquêteur. Amateur de lectures variées, de la BD aux romans, polars et récits d’aventures, il réside à Nantes et fait partie de l’association des Romanciers Nantais.

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