Liste de lecture

Coups de coeur: les livres à ne pas rater en avril

Sorties récentes, coups de coeurs, une sélection de quatorze livres en tous genres qui ont plu à la rédaction et que l’on vous conseille. Essais, romans étrangers, voyages, autant de thèmes qui savent nous charmer et nous faire apprécier la plume de leurs auteurs. De Jean Teulé à Frédéric Mitterrand en passant par Lionel Duroy, quatorze romans qui font la richesse des sorties de printemps.

 

« Echapper » de Lionel Duroy (Julliard)

On aime la narration, les mots, la profondeur de Lionel Duroy, on aime comment il exploite les thèmes qu’il utilise: l’origine du mal, le deuil de la relation amoureuse. On aime aussi comment l’auteur guide son lecteur à travers une histoire, une époque, des personnages.

De quoi ça parle? l’éditeur met en avant cet extrait du livre pour en parler: « Vous me demandez ce que Susanne a de plus que vous, je vais vous le dire : Susanne est en paix avec les hommes, elle ne leur veut aucun mal, elle n'ambitionne pas de me posséder et de m'asservir, elle aime au contraire me savoir libre et vivant pour que je continue d'être heureux et de lui faire l'amour. Longtemps, longtemps. Vous comprenez, ou il faut encore que je vous explique ? » 

« Héloïse Ouille » de Jean Teulé (Julliard)

On aime retrouver Héloïse et Abélard, surtout sous la plume de Jean Teulé. Une histoire mythique sur les inventeurs de l’amour. On aime aussi la passion que transmet Jean Teulé dans ce livre et surtout l’humour qu’il y place.

De quoi ça parle? l’éditeur le présente ainsi : « À la fin de sa vie, Abélard écrivait à Héloïse : " Tu sais à quelles abjections ma luxure d'alors a conduit nos corps au point qu'aucun respect de la décence ou de Dieu ne me retirait de ce bourbier et que quand, même si ce n'était pas très souvent, tu hésitais, tu tentais de me dissuader, je profitais de ta faiblesse et te contraignais à consentir par des coups. Car je t'étais lié par une appétence si ardente que je faisais passer bien avant Dieu les misérables voluptés si obscènes que j'aurais honte aujourd'hui de nommer. " Depuis quand ne peut-on pas nommer les choses ? Jean Teulé s'y emploie avec gourmandise. »

« Mitteleuropa » d’Olivier Barrot (Gallimard)

On aime partir en voyage avec Olivier Barrot, on aime les découvertes et l’apprentissage que permet la lecture de « Mitteleuropa ». Une belle façon de se laisser transporter, et surtout de se laisser guider au fil des pages.

De quoi ça parle? l’éditeur en parle ainsi: « Depuis l'adolescence, Olivier Barrot n'a eu de cesse de partir à la rencontre de la Mitteleuropa, cet insaisissable territoire uni au long des siècles par le partage de la langue allemande. C'est en lisant et en voyageant qu'il s'est approprié les mille facettes de cette vaste Europe centrale dont le propre est justement de n'avoir pas de centre, d'être en quelque sorte voisine du monde, et le berceau de tant d'émigrants célèbres. Exercice de cartographie littéraire, le présent livre raconte les voyages, lectures, films et musiques qui ont permis à Olivier Barrot de renouer petit à petit le fil avec la lointaine Bessarabie, l'actuelle Moldavie, d'où sa famille maternelle est partie un jour, au début du XXe siècle, pour s'installer en France. »

« Le Principe » de Jérôme Ferrari (Actes Sud)

On aime lire un roman qui parle de physique et de mathématiques, et on aime la facilité avec laquelle on comprend ce dont on parle. On parcourt une époque à travers les yeux d’un narrateur toujours avide de connaissance et on apprécie le style d’écriture de l’auteur.

De quoi ça parle? l’éditeur nous dit ceci: « Fasciné par la figure du physicien allemand Werner Heisenberg (1901-1976), fondateur de la mécanique quantique, inventeur du célèbre "principe d'incertitude" et Prix Nobel de physique en 1932, un jeune aspirant-philosophe désenchanté s'efforce, à l'aube du XXIe siècle, de considérer l'incomplétude de sa propre existence à l'aune des travaux et de la destinée de cet exceptionnel homme de sciences qui incarne pour lui la rencontre du langage scientifique et de la poésie, lesquels, chacun à leur manière, en ouvrant la voie au scandale de l'inédit, dessillent les yeux sur le monde pour en révéler la mystérieuse beauté que ne cessent de confisquer le matérialisme à l'œuvre dans l'Histoire des hommes. »

« La vie des elfes » de Muriel Barbery (Gallimard)

On aime le retour de Muriel Barbery après neuf ans de discrétion. Un passage dans un monde imaginaire avec des créatures et des pouvoirs magiques dont on aime tant les récits. On amie aussi ce périple dans la nature que nous permet les pouvoirs de la protagoniste. C’est toute une complicité dans l’écriture de Muriel Barbery que nous retrouvons dans ce roman.

De quoi ça parle? le mot de l’éditeur: « Quoi de commun entre la petite Maria, qui vit dans un village reculé de Bourgogne, et une autre fillette, Clara qui, à la même époque, après avoir grandi dans les Abruzzes, est envoyée à Rome afin d'y développer un don prodigieux pour la musique ? Peu de choses, apparemment. Pourtant, il existe entre elles un lien secret : chacune, par des biais différents, est en contact avec le monde des elfes, monde de l'art, de l'invention, du mystère, mais aussi de l'osmose avec la nature, qui procure à la vie des hommes sa profondeur et sa beauté. Or une grave menace, venue d'un elfe dévoyé, pèse sur l'espèce humaine, et seules Maria et Clara sont en mesure, par leurs dons conjugués, de déjouer ses plans. Les deux fillettes, une fois réunies, auront à mener un long combat. »

« Bravo » de Régis Jauffret (Seuil)

On aime parce qu’on plonge en plein coeur d’un âge qui nous fait peur: la vieillesse. On explore ce que l’auteur appelle « le continent gris », à travers seize histoires qui mettent en scène des personnages âgés de 55 à 125 ans. Un livre plein de cruauté et d’émotion.

De quoi ça parle? l’éditeur le présente ainsi: « Comment imaginer qu'on puisse marcher gaillardement vers la mort, «cet inévitable pays où l'on finit tous par aller se faire foutre», pour reprendre les mots de Régis Jauffret? Ce roman mosaïque est constitué de seize fictions. La vieillesse est le véritable héros du livre qu'incarnent des fous, des sages, des braves gens et des infâmes. Ces naufragés du grand âge, hantés par leur fin prochaine, s'avancent comme autant de doubles de nous-mêmes. Une prose rigoureuse, drôle, impitoyable, d'une gaieté macabre, aux phrases affûtées comme le fil d'un rasoir. »

« Eden Utopie » de Fabrice Humbert (Gallimard)

On aime découvrir les secrets de l’auteur. On aime découvrir une époque, une société, une façon de penser. C’est ce souci de transmission qui nous fait craquer mais surtout ce lien incroyable que l’auteur a avec sa défunte grand-mère.

De quoi ça parle? l’éditeur nous dis ceci: « Au début du XXe siècle, une jeune fille perd sa mère et est élevée en compagnie d'une cousine qu'elle considère comme sa soeur. Elle fait un mauvais mariage, doit abandonner ses enfants, gagne sa vie par tous les moyens. Sa cousine, de son côté, fait un beau mariage et mène une vie heureuse et prospère. Toutefois, l'écart des destins n'empêche pas les deux femmes de se voir chaque semaine. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, leurs deux familles créent une étrange communauté utopique qui a pour nom la Fraternité. A partir des années 1960, la France se transforme, les idéaux évoluent aussi et les descendants de la Fraternité tentent d'appliquer dans leur vie ce qu'ils ont appris au cours de leur enfance : l'un d'entre eux devient Premier ministre sous la Ve République, une autre choisit les voies de la gauche radicale et fait malgré elle partie du groupe terroriste français Action directe. Mais pour les autres, et notamment pour l'auteur. quelle utopie est encore possible de nos jours ? Roman d'une des aventures les plus secrètes et les plus intenses du XXe siècle, ce livre est l'histoire d'une double famille, celle de Fabrice Humbert, qui signe ici une éblouissante plongée dans les passions et les utopies des êtres et des sociétés. »

 

Les deux prochains livres parlent tous deux d’un seul et même homme: François Mitterrand. Le premier représente le témoignage personnel de son neveu, qui évoque la figure emblématique dans son roman; le second  est un essai historique signé Michel Winock. 

« Une adolescence » de Frédéric Mitterrand (Robert Laffont) 

On aime le côté témoignage, plonger dans l’enfance de l’auteur. Une enfance ou l’auteur est tiraillé entre une admiration certaine pour le chef de la résistance qu’était le Général De Gaulle mais aussi par son affection pour son oncle et opposant de De Gaulle, François Mitterrand.

De quoi ça parle? la présentation de l’éditeur: « "Et voici qu'après tant d'années je n'arrive toujours pas à choisir entre le général de Gaulle et François Mitterrand ! J'ai tenté à plusieurs reprises de sortir d'un tel dilemme pour comprendre ce que je n'ai pas encore compris. Comme lorsque j'ai écrit ce texte, il y a longtemps, que je l'ai relu, repris – à tel point qu'il est devenu un autre – mais sans en modifier le ton car il se lit avec les mots de l'enfance et que c'est à ce moment-là que tout s'est noué, de telle sorte qu'au fond je n'ai pas changé. " Une adolescence conjugue deux veines littéraires chères à Frédéric Mitterrand : celle du mémorialiste et celle de l'auteur intimiste. Avec toujours la même liberté d'esprit, il évoque ici une jeunesse qui ressemble à celle de toute une génération, mais où s'ébauche, sur un ton allègre, le portrait d'une personnalité singulière. »

« François Mitterrand » de Michel Winock (Gallimard)

On aime cette biographie sur François Mitterrand, personnage clef de l’histoire de France, de notre histoire. Une biographie sérieuse, qui aide le lecteur à comprendre beaucoup de choses sur les choix de cet homme et de ceux qui l’entouraient.

De quoi ça parle? le mot de l’éditeur: « «Prince de l'ambiguïté», personnalité ondoyante, maître de l'équivoque, François Mitterrand a souvent déconcerté ses contemporains : vichyste et résistant, homme de droite devenu chef de la gauche, anticommuniste allié aux communistes, dénonciateur de la Ve République dont il finit par incarner comme personne les formes et les usages les plus discutables. Cet homme doublement enraciné dans sa Saintonge natale et dans son fief du Nivernais, aussi féru de littérature et d'histoire que de politique, sut cultiver le secret, dérouter ses partisans et se montrer un jouteur de première force, combatif mais patient, stratège jamais découragé par l'échec. Chez Mitterrand, le privé et le public paraissent si intimement noués que l'un n'est intelligible qu'à la lumière de l'autre. Michel Winock les met en miroir pour explorer la vérité d'un enfant du siècle, qui a traversé les époques, les milieux et les idées sans jamais en renier aucun. Devenu Président, François Mitterrand a marqué en profondeur la vie politique française. Figure originale d'un monarque de gauche, il réussit à imposer l'alternance et, par là, à consolider la Constitution. S'il échoue à réaliser les espérances socialistes, il ouvre à la France le nouvel horizon de la construction européenne. Dans la maladie, cet épicurien fit preuve jusqu'à la fin d'un stoïcisme digne d'admiration. Honni ou adulé, il reste un grand homme politique du XXe siècle. Complexe, séduisant, attachant, détesté, il a suscité des fidélités inconditionnelles et des rancunes indélébiles. Plus on le découvre et plus on mesure ce qu'il a d’insaisissable."

 

Du côté des Essais, on vous propose aussi…

« Cosmos » de Michel Onfray (Flammarion)

On aime être remis en question par rapport à notre responsabilité en tant qu’espèce humaine. On aime ce premier tome d’une trilogie qui s’annonce subjuguante. Une réponse à des questions que l’on se pose tous. 

De quoi ça parle? Ce qu’en dit l’éditeur: « Cosmos est le premier volume d'une trilogie intitulée "Brève encyclopédie du monde". Il présente une philosophie de la nature. Il sera suivi de "Décadence", qui traitera de l'histoire, puis de "Sagesse", consacré à la question de l'éthique et du bonheur. "Trop de livres se proposent de faire l'économie du monde tout en prétendant nous le décrire. Cet oubli nihiliste du cosmos me semble plus peser que l'oubli de l'être. Les monothéismes ont voulu célébrer un livre qui prétendait dire la totalité du monde. Pour ce faire ils ont écarté des livres qui disaient le monde autrement qu'eux. Une immense bibliothèque s'est installée entre les hommes et le cosmos, et la nature, et le réel". Tel est le point de départ de ce livre, dans lequel Michel Onfray nous propose de renouer avec une méditation philosophique en prise directe avec le cosmos. Contempler le monde, ressaisir les intuitions fondatrices du temps, de la vie, de la nature, comprendre ses mystères et les leçons qu'elle nous livre. Tel est l'ambition de ce livre très personnel, qui renoue avec l'idéal grec et païen d'une sagesse humaine en harmonie avec le monde. »

« Big Data, penser l’homme et le monde autrement » de Gilles Babinet (Le Passeur)

On aime la réflexion profonde sur la technologie et sur son usage que nous propose l’auteur dans cet essai. Une entrée dans le monde numérique et sur les idées qui en découlent. Anecdotes et problématique, Gilles Babinet entre son lecteur dans une projection sur la décennie à venir.

De quoi ça parle? L’éditeur nous dit ceci: « Issues de nos réseaux sociaux, de notre téléphone mobile, de notre passage en caisse, de l'utilisation d'une carte de transport, les données sont partout. Gilles Babinet montre que les techniques de Big Data peuvent être utilisées pour développer des outils marketing perfectionnés, améliorer la prise en charge médicale, permettre aux villes de mieux gérer leurs ressources ou encore allier productivité agricole et développement durable. Les données pourraient bien être l'une des énergies motrices de la nouvelle révolution globale en cours. Pourtant, de nombreuses questions se posent. Sommes-nous sur le point d'entrer dans une société semblable à celle que décrit George Orwell dans 1984 ? Quels facteurs permettraient à une société démocratique et respectueuse des libertés individuelles de bénéficier de cette nouvelle technologie ? Gilles Babinet fait toute la lumière sur ces questions en rappelant que ce ne sont pas les technologies qui façonnent l'humanité, mais bien l'usage que l'on choisit collectivement d'en faire. »

« The United States of Google » de Götz Hamann, Khuê Pham et Heinrich Wefing (Premier parallèle)

On aime en apprendre sur le moteur de recherche dont des milliers d’utilisateurs se servent tous les jours dans le monde entier: Google. Qu’est-ce qui découle réellement de ce géant de l’informatique? Un essai qui pose de bonnes questions.

De quoi ça parle? l’éditeur le présente: « Chaque année, à Austin, au Texas, le gotha du web se réunit en grande pompe. Les patrons de Google y sont accueillis en véritables rock-stars. Ou plutôt, en sauveurs. Les États ne parviennent pas à réduire leurs émissions de CO2 ? Google construit précisément son propre parc à énergie solaire. Les États ne réussissent pas à réguler le trafic routier ? Google construit justement une voiture sans chauffeur. Les États échouent à moderniser les régions sous-développées d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine ? Google veille à ce que chacun ait accès à Internet. Google et, de manière plus générale, les grands services de l'Internet (le plus souvent californiens) sont en train de prendre, sans qu'on s'en rende compte, la place de l'État, des États, dans la gestion quotidienne de nos droits et libertés. Dans quelle mesure doit-on s'en inquiéter ? »

 

Et pour voyager sous la plume d’auteurs étrangers, la rédaction vous propose deux derniers romans

« Snow Queen » de Michael Cunnigham (Belfond)

On aime cette histoire, ce compte qui se déroule en plein New York. On aime s’introduire dans le quotidien de ces deux frères un peu paumés. On aime surtout cette allusion aux contes d’Andersen qui ont bercé notre enfance.

De quoi ça parle? Ce qu’en dit l’éditeur: « Un soir de novembre, alors qu'en pleine déprime amoureuse il traverse Central Park, Barrett est témoin d'une lumière mystérieuse, un moment fugace de beauté pure, un instant suspendu, comme si quelqu'un, quelque part, le regardait avec bienveillance. Une lumière qui lui évoque son frère, Tyler, cocaïnomane, musicien talentueux qui n'a jamais percé ; Beth, la fiancée de Tyler, qui se meurt d'un cancer ; Liz, leur amie commune, leur presque mère. Une lumière qui illumine aussi ses propres failles, ses ambitions ratées, ses amours déçues. Une lumière comme une manifestation du sublime. Comme l'amour qui, malgré tout, unit ces êtres blessés. Ou le rappel que, si le temps passe et les rêves aussi, reste la tendresse…"

« Trois fois dès l’aube » d’Alessandro Baricco (Gallimard)

On aime lire ce roman qui est seulement évoqué dans son livre précédant « Mr Gwyn », et on aime encore plus pouvoir apprécier « Trois fois dès l’aube » même si on n’a pas lu son prédécesseur. Trois histoires à lire sans modération.

De quoi ça parle? La présentation de l’éditeur: « Deux personnages se rencontrent à trois reprises. Un homme commence à parler avec une femme dans le hall de son hôtel et, quand celle-ci a un malaise, il l'héberge dans sa chambre. Leur conversation se poursuit, l'homme s'ouvre à elle mais mal lui en prend. Un portier d'hôtel aide une jeune cliente à s'enfuir afin d'échapper à son compagnon, un individu violent et dangereux. Plus âgé qu'elle, il lui révèle qu'il a passé treize ans en prison à la suite d'un meurtre. Malcolm, le personnage de la première rencontre, est encore enfant quand ses parents meurent dans l'incendie de leur maison. Pour le soustraire aux suites de ce drame et l'emmener dans un endroit sûr, une inspectrice de police le conduit chez un de ses amis. Trois histoires nocturnes qui se concluent à l'aube et qui marquent, chacune à sa façon, un nouveau départ. Trois facettes qu'Alessandro Baricco rassemble en un récit hypnotique et puissant, non dépourvu d'élégance et même de sensualité. »

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